Les universités d’été de la SBA

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Les universités d'été de la SBA

Les 4 et 5 septembre 2019

SQUARE Brussels Convention Center

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LE rendez-vous incontournable
du bâtiment intelligent dans la ville durable

En 2018, les Universités d’Eté Smart Buildings for Smart Cities franchissaient un cap en prenant une nouvelle dimension. 

En 2019, l’expansion continue !  

Grâce à l’arrivée d’un nouveau pilier, la Confédération Construction Bruxelles Vlaams-Brabant, et d’un tout nouveau lieu, le Square, situé en plein cœur de l’Europe, cette nouvelle édition sera définitivement sous le signe de l’internationalisation.

Autre grande nouveauté : un nouveau format pour plus de participants !

Il existe désormais 2 manières d’assister aux UE : en tant que congressiste avec un accès à l’intégralité de l’événement notamment aux conférences plénières (avec une traduction en anglais disponible) ou en tant que visiteur en ayant accès à l’Expo et aux ateliers thématiques uniquement. 

Pour en savoir plus

Les tendances BIM en matière d’innovation dans la conception des bâtiments

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Etude de marché – Les tendances BIM en matière d’innovation dans la conception des bâtiments

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Découvrez comment les maîtrises d’oeuvre du monde entier utilisent le BIM afin de mieux comprendre leurs projets et relier les données tout au long du cycle de vie d’un projet afin d’améliorer la prise de décision et obtenir ainsi de meilleurs résultats.

Dans cette présentation de Connecting Design Insight SmartMarket Brief, vous découvrirez :

  • Six fonctions d’analyse qui aident les équipes à générer plus efficacement des variantes de projets et à améliorer le processus de conception, les solutions de conception et les activités en aval.
  • Cinq capacités qui permettent aux concepteurs d’identifier les meilleures solutions possibles, par opposition aux solutions les plus pratiques, et d’optimiser les performances du bâtiment.
  • Et des exemples de leaders de ce secteur sur la façon dont les capacités d’analyse BIM génèrent plus de valeur pour les projets.

L’un des avantages avérés de l’utilisation du BIM est la capacité à créer des projets plus réalistes et maîtrisés. Il s’agit notamment de créer des esquisses très rapidement afin d’en faire ensuite une modélisation plus poussée en générant de multiples variantes de projet par le biais de technologies paramétriques et l’intégration de données contextuelles telles que la capture de la réalité (nuages de points) et les systèmes d’information géographique (SIG).

Par ailleurs, la capacité à analyser par la suite ces variantes de projets est essentielle. Cela permet de choisir la meilleure solution, et d’analyser la performance du bâtiment en comparant les options non seulement les unes par rapport aux autres, mais aussi par rapport aux points de référence du secteur, et en tirant parti des avantages d’algorithmes de conception tels que le generative design et autres.
La recherche présentée dans ce rapport s’appuie sur des enquêtes réalisées auprès d’architectes et d’ingénieurs nord américains afin d’établir des statistiques sur la connaissance, l’utilisation et les avantages actuels de ce large éventail de capacités BIM.

Vous pouvez télécharger le rapport en cliquant ici :

https://damassets.autodesk.net/content/dam/autodesk/www/campaigns/You-can-Subscription/aec-smart-market-brief-connecting-design-insight-en.pdf

 

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Pays-Bas : une architecture durable grâce aux imprimantes 3D

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Pays-Bas : une architecture durable grâce aux imprimantes 3D

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Pour la start-up néerlandaise Aectual, l’avenir de l’architecture sera durable et écologique. Grâce aux imprimantes 3D, l’entreprise repousse les limites de la construction.

Des sols, des escaliers voire des bâtiments entiers, réalisés avec des imprimantes 3D … Il ne s’agit pas de science fiction, mais de créations réelles, fabriquées par l’entreprise néerlandaise Aectual.

Soutenue par la Politique de cohésion de l’Union Européenne, cette start-up s’est spécialisée dans les solutions architecturales durables et recyclables.

Pour Hans Vermeulen, son PDG, l’impression 3D permet de « créer un design sur mesure à grande échelle. »

Ce projet bénéficie d’un budget total de 860 000€, dont un peu plus de 300 000 ont été apportés par la Politique de Cohésion de l’UE.

L’équipe est composée de 15 personnes venues des Pays-Bas mais aussi d’Italie, de Russie, de Bulgarie et des Etats-Unis.

Les objets sont créés grâce à trois énormes imprimantes 3D. Yelle Feringa est le chef de la robotique. Il supervise toutes les machines, qui tournent 24h/24h, sept jour sur sept.

« Ces robots proviennent en réalité d’une usine automobile, explique-t-il. Ils ont, je pense, 15 ou 20 ans. Ils ont été remis à niveau, ainsi que l’ordinateur qui les contrôle. Généralement, ce sont plutôt les programmeurs qui fatiguent, pas les robots. Donc si parfois ils ne marchent plus, c’est à cause de nous ! »

Des sols écologiques et recyclables

En ce moment, l’équipe prépare une maison en 3D pour commémorer le centenaire du Bauhaus à Berlin. Précurseur du design contemporain, ce mouvement a eu un grand impact sur les arts appliqués.

Mais la spécialité d’Aectual, ce sont les sols fabriqués à partir de matériaux écologiques et recyclés.

Ester Wubben travaille pour la fondation Doen, qui soutient 270 ONG tournées vers le développement durable. Et c’est justement la dimension écologique des sols 3D qui a séduit Esther. Désormais, l’un de ces modèles orne la cantine des employés.

« Le secteur du bâtiment est responsable de 40% des émissions de CO2, déclare-t-elle. Avec les sols d’Aectual, il n’y a pas de déchet du tout. Et puis, dans l’antiquité, les Romains et les Grecs avaient des sols en pierre comme ça, et ils sont toujours là. Ce sont des sols qui durent très longtemps.« 

Entièrement recyclables, ces matériaux peuvent prendre toutes sortes de formes et de couleurs … Une infinité de possibilités.

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Quels Web Services pour répondre à la demande de R2S

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Quels Web Services pour répondre à la demande de R2S

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Un des piliers du label R2S (Ready2Services) avec le réseau Smart est l’ouverture des données techniques du bâtiment au travers de Web Services. L’idée est de développer des applications de services capables de s’interfacer avec les équipements qui gèrent le confort, la sécurité, … du bâtiment permettant ainsi de renforcer l’expérience utilisateur et faciliter le déploiement de ces offres.

En discutant avec plusieurs opérateurs de services qui veulent s’interfacer avec ces Web Services, je me rends compte de difficultés et idées préconçues : j’aimerais apporter mon éclairage.

Un web service qui expose quoi ? Assurément pas un capteur technique mais une zone d'usage

Beaucoup de constructeurs intègrent les capteurs et actionneurs physiques à l’informatique. De fait, ils exposent des Web Services liés à ces capteurs et actionneurs. A mon sens cela est une fausse bonne idée. Quand je suis opérateur de services et que je développe une application mobile, ai-je besoin de savoir que le capteur d’occupation situé sur l’entrée 4 de l’automate 8 du réseau 2 de l’étage 23, dit « occupé » ? Ou ai-je besoin de savoir que le bureau de Serge est occupé ? Ceci qu’importe le nombre de capteurs dans le bureau et sans savoir à quel automate ils sont raccordés sur quel réseau ?

La réponse est évidente, mais quand on regarde les solutions actuelles, nous sommes loin de cela car beaucoup collent à la représentation physique et proposent des Web Services dans les produits ou alors avec ces données techniques unitaires décorrélées de l’usage.

Il faut progresser vers la création d’une vraie ontologie d’usage qui expose non pas les données physiques mais les données logiques telles que les zones, car les services sont sur les usages. Mais il faut toutes les zones d’usage : pas seulement les zones bureaux, mais les façades, les groupes de fourniture, les zones de repos … et même les zones dans les zones à l’aune des nouveaux espaces de travail qui offrent une kyrielle d’espace de fonctions. En fait, il faudrait représenter toute entité logique capable de recevoir des services.

Ainsi, l’opérateur de services peut développer facilement une interface réduisant ainsi les coûts travaux preneur et augmentant l’expérience utilisateur. Ces Web Services doivent supporter de surcroît les modifications de zones, le re-cloisonnement, les changements d’usage de zone, ….

À quel niveau publier le web service ? Pas au niveau produit terrain mais au niveau infrastructure

Là encore une fausse bonne idée est de publier les Web Services au niveau des produits. Pourquoi ? Deux raisons principales que je développerai : les Web Services doivent être exposés sur Internet. Si on suit cette logique, on devrait exposer les produits ou réseau terrain sur Internet. Cela relève soit d’une plaisanterie ou alors d’une complexité accrue, impliquant des réseaux virtuels à créer mais surtout exploiter in fine. Et dans ce cas, quid de la segmentation en preneurs ? On comprend que ce n’est pas forcément la bonne idée.

De plus, si je descends au niveau du produit, je ne peux avoir de Web Service sur l’usage et la zone comme vu précédemment, je suis trop bas au niveau de la technique… Je n’accède qu’à la partie du produit d’automatisme sans donnée contextuelle.

Alors on me dira qu’il est possible avec des Switchs de niveau 3 de faire des réseaux virtuels qui isolent les réseaux, …. En effet pour un BAC+8 avec un tournevis, mais dans ce cas les coûts travaux et maintenance s’envolent … mais même si nous faisons cela, il demeure qu’en travaillant au niveau terrain, on n’a pas les données logiques, on est trop bas : comment proposer une seule donnée simple comme « occupation du bureau de Serge » si plusieurs capteurs sont dans le bureau – oui le bureau de Serge est grand – et que chaque capteur fournit sa donnée ? Pas possible …. il faut remonter à un niveau supérieur. Autrement c’est l’opérateur de services qui recrée ceci dans son application, bonjour les coûts !

Il faut ainsi imaginer un déploiement de données contextualisées au travers des zones logiques depuis un outil dans le bâtiment, tel un outil d’intégration graphique hébergé sur un serveur de GTB réseau. Cela permet de ventiler ces informations et publier ces zones d’usage en web services sur des réseaux différents en fonction des consommateurs de ces informations.

Il faut pouvoir déployer des services par preneur et par métier et non par produit

Les bâtiments tertiaires sont mono ou multi preneurs. Il faut donc penser multi preneurs mais également exploitation … chaque preneur ayant le choix de son fournisseur de services, nous devons pouvoir exposer les données depuis des sources différentes, sur des réseaux différents les données propres au preneur. L’exploitant n’interagira pas avec le bureau de Serge de la même manière que Serge dans son utilisation quotidienne. L’exploitant aura besoin de l’occupation, de la position de la vanne, de l’historique de température de consigne, … alors que Serge voudra allumer, éteindre, augmenter la température – oui Serge est frileux dans un grand bureau …

Là encore, le seul moyen est de proposer une suite logicielle qui va permettre d’affecter des étages à des preneurs, de représenter différemment la même zone et les publier en Web Services adéquates sur les réseaux IP adéquates.

Des web services orientés preneur exposant des zones logiques orientées usages avec une ontologie, surtout pas au niveau terrain orienté technique brut

En conclusion, je dirai qu’il ne faut pas se faire berner et penser en raccourcis du genre : il faut tous les automates sur IP et des Web Services dedans ; le miroir aux alouettes typique, né de raccourcis. Il faut demander la création d’une vraie ontologie du bâtiment, découpant physiquement mais également logiquement le bâtiment en zones et publiant au bon niveau les Web Services structurés, documentés et qualifiés. C’est sur ces données que vont s’appuyer les propositions de valeur des services qu’ils soient au preneur, au visiteur, au mainteneur ou aux property manager.

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Les enjeux du BIM pour les architectes

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Les enjeux du BIM pour les architectes

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Au-delà du phénomène de mode que représente le BIM nous sommes face à un nouveau paradigme en terme d’architecture. Faire de l ‘architecture au travers de ce nouveau paradigme bouleverse nos façons de l’aborder mais pas tant que ça. qu’est-ce que le BIM finalement? Pour le moment, notamment dans le monde professionnel, cette notion est expliquée principalement par les développeurs de logiciels d’architecture. Il est important, pour les architectes, de bien comprendre que le BIM n’est pas un logiciel mais tout un processus qui tourne au tour d’une maquette numérique dont les acteurs sont multiples et qui concerne l’ensemble des étapes de conception et réalisation d’un projet d’architecture. Il ne s’agit donc pas de simplement s’équiper d’un logiciel. Si le BIM devient et deviendra incontournable c’est aussi parce qu’il apporte de nombreux avantages. Ceci dit il engendre aussi pas mal de bouleversements dans les bureaux d’architecture, grands et petits. Il faut donc bien s’y préparer. Comme toute nouvelle façon de faire, sa mise en place demande un investissement conséquent, que ce soit en termes de temps, d’argent ou de formation.

Qu'est ce que le BIM ?

Le BIM est donc un processus qui gère une maquette numérique dans la phase de conception du projet et dans sa phase de réalisation. Il associe diffèrents acteurs qui vont participer à la réalisation de la maquette numérique dans toutes les phases importantes du projet. Ces acteurs doivent donc pouvoir implémenter et échanger des informations importantes sur le projet. Cette maquette numérique est une copie ( un clône) numérique du bâtiment qui va être réalisé, elle permet de simuler la construction mais aussi de vérifier la bonne superposition de l’ensemble des éléments dessinés, ce qui permet des gains de temps et d’argent lors de sa réalisation.

Le BIM n’est donc pas un outil spécifique aux architectes mais nous y avons un rôle important à jouer. Pourtant nous sommes quasi les derniers dans le monde de la construction à l’aborder. Dans l’avenir le BIM va permettre d’élargir, de créer de nouveaux métiers, dont l’architecte peut s’y intéresser et s’y investir. La nouvelle figure professionnelle de BIM-manager est l’une des situations dans laquelle l’architecte peut jouer un rôle. Le BIM-manager est la personne qui gère la maquette numérique lors de sa réalisation et coordonne les transferts de données entre les différents acteurs du projet. Il vieille à ce que le modèle soit le plus correct possible et évite les problèmes de collision d’information provenant de différents bureaux d’étude. Il doit donc avoir une bonne connaissance des processus, des logiciels et du rôle de chaque utilisateur. Les architectes y trouveraient une mission valorisante et intéressante.

Il faut savoir aussi que le BIM n’est pas apparu du jour au lendemain. Cette notion a été longtemps l’affaire des ingénieurs et des chercheurs. Si aujourd’hui il est devenu un sujet d’actualité sorti du giron des universités c’est simplement parce que certains pays ont parié sur son utilisation et ont mis en place les conditions pour le faire.

Le BIM, une obligation ?

Des résultats d’enquêtes ont démontré qu’un projet élaboré avec le processus BIM permettait de réaliser des économies substantielles dans la conception mais aussi et surtout dans la réalisation des travaux. L’Angleterre estime une économie de temps et de coût de l’ordre de 20%. C’est essentiellement pour cette raison que la commission européenne a édité une directive (directive européenne 2014/24/EU) sur la passation des marchés publics) qui pousse l’ensemble des pays de l’union à intégrer ce processus dans les appels à marchés publics.

Avec des niveaux d’évolution différents, chaque pays de l’Union Européenne est en train de mettre en place des conditions d’intégration de cette nouvelle façon de faire et de construire, les précurseurs étant l’Angleterre, la Norvège, et la Finlande, suivis de près par les allemands , les français et les Luxembourg.

Les enjeux, au niveau constitutionnel sont donc importants en Belgique. Pour l’instant peu de choses sont mise en place chez nous. Il est donc encore temps que les architectes s’y intéressent de près pour être des acteurs importants dans sa mise en place. L’enjeu est double pour nous ; si un architecte belge souhaite répondre à un appel à marchés publics européen dans l’avenir il devra être prêt à démontrer ses capacités à travailler dans le cadre d’un processus BIM, et si la Belgique met en place ce processus il faut aussi s’y préparer parce que les bureaux provenant d’autres pays européens risquent d’être plus à même de répondre aux nouvelles conditions de marchés publics belges.

Quel logiciel ?

La question du logiciel finalement (mis à part l’investissement financier qu’il peut représenter) est secondaire puisqu’il existe maintenant un format de fichier universel qui permet à tous les logiciels BIM de récupérer l’ensemble des informations intégrées dans la maquette numérique, ce format est l’IFC (pour Industrie Foundation Classes). Développé par un consortium d’entreprises du bâtiment et de développeurs de logiciels « BuildingSmart ». Il n’y a donc pas lieu de penser qu’il faut absolument tel ou tel logiciel, il faut faire le choix suivant les outils que celui-ci propose par rapport à une manière de faire propre à l’architecte. Le plus important c’est de mettre en place les conditions de collaboration dans son bureau autour de la maquette numérique et voir dans quelle mesure adapter sa façon de travailler.

Qu'apporte en plus le BIM

Au-delà de la conception et de la réalisation d’un projet, le BIM permet la production d’un as build en maquette numérique fidèle à la construction et intégrant l’ensemble des données de chaque équipe le composant. Cela a suscité chez certains maitres d’ouvrage la volonté de faire des maquettes numériques BIM pour l’ensemble de leur parc mobilier pour des questions facilité dans la gestion et donc des économies conséquentes à long terme.

Là aussi les architectes pourront devenir des acteurs importants dans la gestion de ces maquettes numériques, compétences recherchées par déjà pas mal de maitres d’ouvrages.

En conclusion

Il est important pour nous de considérer le BIM comme un nouveau mode de fonctionnement qui peut nourrir la profession et l’enrichir, d’où l’importance de former les futurs architectes à la connaissance du processus BIM plus qu’au maniement de logiciels.

La marche vers le BIM est un cours et nous avons tout intérêt à y être attentif et donner aux architectes une place importante de ce processus.

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Le BIM pour restaurer Notre-Dame de Paris

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Le BIM pour restaurer Notre-Dame de Paris

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Un article paru dans les cahiers techniques du bâtiment

Sous titre

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